toujours en Allemagne, certains trottoirs sont d'abord piétons et ensuite "frei vélo" : vous pouvez y rouler mais ce n'est pas l'idée
Souhaits et idées pour la prochaine fois
- Avoir les cartes détaillées pour le GPS en sus des cartes 1/200.000eme
- Pouvoir me connecter au net pour lire les bulletins météo (aucun camping n'étaient équipé wifi à ce que j'ai vu, c'est dommage) Je n'avais qu'a acheter la gazette peut-être, c'est vrai! A mettre au programme (mais la langue devient un obstacle) (et euh, j'aurai pu utiliser la gazette pour m'isoler de la pluie? On n'a pas eu froid)
- Compléter le matériel de camping : adaptateur électricité, siège/mini table pour manger au camping, optimisation des emballages divers, penser au séchoir pour la lessive,...
Et pour terminer quelques cartes et chiffres :
Le point le plus haut : 255m à la DJH de Wuppertal. Le point le plus bas : -7m en Zélande.
L'étape la plus longue : 104 km en 6h08 (16.98km/h de moyenne)
L'étape la plus courte : (mais c'était voulu) 47.92km en 3h07
l'étape la plus dure : 56.25km en 4h47, avec les 14 derniers kilomètres en 2h30 environ!
La plus vallonnée : l'arrivée de Syburg à Wuppertal (ouf c'était aussi la plus courte, mais je l'ai senti passer!)
L'étape la plus vite : le dernier jour, avec du 17.05 de moyenne et 90km, mais c'est à peine plus vite que l'étape la plus longue!
et donc un total de 1174 km en fin de parcours.
Jean-Marie a continué vers l'Est de la Belgique sans nous, et a tellement bien roulé le vent dans le dos qu'il a accompli la plus longue étape jamais vue : 140 km en une seule journée! Il a suivi le canal Albert tout de long...
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Voici le trajet comme il a été finalement fait. A le refaire je pense que je repartirai dans des conditions similaires de charge,etc... Avec d'autres cartes routières, sans plus! Ou peut-être rien qu'avec un GPS qui fonctionne tout à fait - (le mien est un peu en panne en fait, il n'accepte pas les extensions mémoire ce qui en limite sa capacité...)
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Je prévoirai cependant plus de temps à la photo ferroviaire et des trams etc. En effet, à Dusseldorf par exemple il y a un métro, et donc il aurait fallu s'arrêter plus longtemps. Le fait que mes 2 compagnons d'aventures ne soient pas ferrovipathes ne facilite pas la chose, donc, si vous êtes cycliste ferrovipathe, faites-moi signe, on ne sait jamais! Et point de vue planification, j'aurai pu repérer des endroits ferroviaires sur les cartes, malgré que j'ai changé les trajets au jour le jour. Cela aurait pu me donner quelques points de chute intéressants, je n'ai pas des masses de photos de train allemands.
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